Bayonne : Le phénoxythanol – cosmétique

Le phénoxyéthanol devient populaire en cosmétique ?

En effet des associations se sont crées afin de dénoncer ce conservateur.

Alors qui est-il ? Le phénoxyéthanol est un conservateur synthétique : il permet de détruire les micro-organismes et permet de conserver le produit. Il est très efficace contre les bactéries mais pas que…

Le phénoxyéthanol est utilisé comme stabilisant, comme conservateur et comme solvant.

On le trouve dans les crèmes, shampoings, laits hydratants, écrans solaires, gels douche, lotions, déodorants, maquillages et parfums, colorations, vernis, savons…la liste est très longue.

Il est facile d’utilsation et son coût est faible.

Voici une liste des dangers qu’il procure :

  • Un polluant explosif

Il est issu du pétrôle (éthoxylé). Il fait partis des éthers de glycol, il est très polluant et toxique.

L’éthoxylation est un procédé désastreux pour l’environnement. Il est interdit par les labels de cosmétiques biologiques.

Se procédé est cancérigène, génotoxique, irritant pour la peau, les yeux et les voies respiratoires, nuit au système nerveux et le cerveau (mémoire, concentration…)
Dans sa fabrication, il y a besoin du phénol qui lui aussi est très toxique, écotoxique pour les sols, l’eau et l’air. C’est aussi très énergivore.

Le phénoxyéthanol n’est pas  biodégradable.

Il est sur la liste noire des substances les plus dangereuses pour l’environnement.

  • Il est très irritant et allergisant :

Il est irritant pour la peau et les yeux et allergisant (eczéma, urticaire).

Son pouvoir allergisant est connu aujourd’hui ainsi que son pouvoir de perturbateur endocrinien.

Le phénoxyéthanol :

• Il est neurotoxique et toxique pour le foie et le sang.

• Il est un cancérigène suspecté.

• Il est reprotoxique et perturbateur endocrinien. Il perturbe nos glandes endocrines.

• la baisse de la fertilité masculine et l’irrégularités des cycles féminins,
• les pubertés trop précoces (provoquant des risques psychologiques, cardiovasculaires et de diabète),
• les malformations congénitales et troubles neurologiques chez le fœtus, augmentations du risque de fausse couche et de prématurité,
• les maladies neurodégénératives, l’obésité

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